Tuesday, February 2, 2010

Les "autres" et Maria

1) Quelles images des "autres" (les Francais, les Etats-Unis, etc.) ressort(ent) de ces chapitres ? Qu'est-ce que l'"ailleurs" represente?

On voit dans ces chapitres une représentation sévère des gens qui sont considérés dans ce livre comme les « autres. » On a déjà rencontré déjà dans les chapitres précédante le personnage Lorenzo Surprenant, un vrai « autre » parce qu’il a abandonné la vie des « habitants » (et donc la vie canadienne) pour les « rues d’or » aux Etats-Unis et il est un traître. Dans le chapitre 13 le lecteur voit vraiment ses sentiments de la vie de la famille Chapdelaine et les autres qui vivent comme eux. Il décrit leur existence comme une vie caractérisée de la misère et la crainte du mort et une vie dure et contrôlé par la nature. Ses opinions sont un contraste direct dont les Chapdelaines, qui ont beaucoup de fierté pour leur vie, donc quand Lorenzo parle sans cesse de la stupidité de la vie sédentaire, il vraiment insulte la famille. Dans les chapitres précédant Lorenzo est peinte comme un homme faible et doux parce qu’il ne fait pas le besogne physique. Alors son monologue lui donne, au moins dans les yeux de la mère et le père Chapdelaine, une personnalité détestée. En plus il est peut-être un peu stupide pour parlant ces choses directement aux Chapdelaines ! Il est un peu impolie, je pense.
Pourtant pour Maria les mots de Lorenzo se frappe avec de vérité et concordance avec ses pensées. Pour Maria, Lorenzo est un sort de héro parce qu’il est le première personnage qui avait voyagé comme elle et avait vu le monde dehors les bois de Québec. Aussi, au fin du chapitre 14, Maria admet que les pensées de Lorenzo et la vie qu’il l’offre est une fuite et un remède pour sa cœur cassée. Donc il n’est pas un monstre pour tout le monde.
Les hommes français dans le chapitre 13 sont aussi les « autres ». Malgré le fait qu’ils sont les francophones, il est clair pour les Chapdelaines qu’ils sont les étrangères. Samuel Chapdelaine décrit leurs accents très bizarre et qu’il est comme ils parlent une autre langue. En plus, le fait que Hémon les décrit constamment comme « les Français » et n’utilise que leurs noms quand on le sait montre qu’il (et donc ses personnages) voit les Français comme un groupe anonyme, sans les attributs personnels. Ces gens sont dans leur maison, mais ils sont encore « les Français », pas les hommes individus. Aussi ces gens ne comprennent pas les défis de la vie sédentaire et ils on les amateurs, simplement imitant ses « frères » canadiens. Alors ils ont fous pour essayant d’être quelqu’un qu’ils ne sont pas clairement ! Par consequent, les Chapdelaines (surtout la mère) les plaint (p. 136-137).


2) Reflechissez au personnage de Maria--ses choix dans la vie, ses devoirs, son avenir, etc--et comment elle represente la femme quebecoise traditionnelle. Qu'est-ce qu'Hemon veut dire a ses lecteurs a propos de la femme au Quebec ?

Maria représente la femme québécoise traditionnelle parce qu’elle se décrit comme une femme « simple » et « proche de la nature » et elle apprécie sa vie conservative (152). Mais sa choix de voyager et de considérer le monde dehors le bois montre qu’elle a soif de l’aventure, surtout après Paradis est mort. Dans le chapitre 14, Maria sait que ses parents auraient préférés qu’elle se marie avec Gagnon, et elle sait elle-même qu’une vie avec lui serait une vie traditionnelle, chrétienne, etc. Pourtant Maria considère une vie avec Lorenzo aux Etats-Unis. En choisissant cette vie, elle serait aussi une traîtresse de la vie de sa famille.
La fin du chapitre 14 est je pense le sommet de ce livre parce que sa choix entre Eurotrope Gagnon et Lorenzo Surprenant symbolise une décision entre la vie qu’elle avait toujours su et la vie que sa famille adorent et une vie « facile » et riche. En choisissant cette vie, elle n’est plus une vraie Québécoise. Alors je crois que Hémon veule montrer un rôle très signifiant de la femme québécoise. Malgré la femme au Québec ne fait pas le besogne physique des hommes qui caractérisé la vie québécoise, elle est obligée de choisir la vie avec les hommes qui continuèrent les traditions et la culture québécoise. Elle ne doit pas choisit de se marier avec les hommes comme Lorenzo Surprenant qui abandonne la vie et les traditions du Québec.
mais on peut dire que son amour pour François Paradis est venu de son promis de créer une vie sédentaire parfait avec elle quand il est retourné.

-Melissa

1 comment:

  1. bonnes reflexions au personnage de Lorenzo - vous avez evidemment une opinion assez forte contre ce personnage :) Mais c'est aussi clair qu'il represente la possibiite de s'echapper a la vie dure au Quebec, une vie avec les "rues d'or", une autre sorte de paradis que celui que Francois aurait pu lui offrir. De plus, votre commentaire que le chapitre 14 presente le sommet du livre, les choix de Maria, est tout a fait perspicace, puisque ses choix determinent la survivance de la culture quebecoise (au sein de la famille)

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