Sunday, February 28, 2010

"Par-derriere chez mon pere" -Antoinine Maillet

Qu'est-ce que vous remarquez de la langue française dans ces contes? Qu'est-ce que maillet sembler renforcer ou souligner dans sa représentation des Acadiens dans ses contes?

J’étais étonner que je n'ai rien note sur la langue français. Puisqu’il est un texte acadien je m’attends que je trouverais beaucoup de différences dans la langue. Mais comme Mme à inclure une question sur la langue je suis un peu inquiète que quelque chose me manque dans le texte sur la langue !

L’auteur explique comment les phrases dans la langue française acadienne sont liées avec la culture. Les phrases de la vie marin sont utilisés aussi pour les autres parties de la vie…ça montre que la langue est une partie très importante dans la vie acadienne et est une réflexion des valeurs de la vie acadienne.

Comme l’Acadie n’est pas un lieu physique, aujourd’hui la seule façon qu’on peut préserver leur culture et leur sens acadienne est avec la langue. Il est dans la langue, qu’ils peuvent sentir comme les vraies Acadiens et la langue les séparent des « autres » que l’auteure a mentionnés quelque fois dans les contes. Actuellement, le cœur de le sens d’étant acadien vient de la langue français.

J’ai bien noté aussi que le ton du texte était très familier. Même la titre- « Par-derrière chez mon père »-- indique une connaissance profonde et un sens de confort est que, comme la familiarité de la maison du père, le sens d’étant Acadien est inné et naturel. Il est intéressant que l’auteur parle dans une façon très familière des idées très profondes et difficiles comme les efforts de trouver l’identité. Mais la parole sociale le rend très facile, amusant, et intéressant de lire.

La partie de l’âme acadienne que m’a frappé dans les contes était que l’Acadie n’est plus une place physique, il est un sentiment, une langue une culture qui n’a pas un pays. On ne peut pas voir ou identifier l’Acadie sauf si on est acadien. Si on est acadienne, il peut l’identifier parce que c’est un sentiment dans leurs cœurs, dans leur tête et leur corps. C’est une idée vraiment incorporelle, on doit le sentir. Donc l’importance de la langue et la compréhension complète de l’histoire quand l’Acadie avait un pays.

Wednesday, February 24, 2010

Evangeline

Quelle sorte de symbole est-ce que l'histoire (la legende) d'Evangeline represente pour les Acadiens ? Comment est-ce que ce poeme (et son histoire) a influence la litterature et/ou la culture (a)cadienne ?


Je croit que peut-être l’historie d’Evangeline soit importante parce qu’elle est un rappel de la tristesse est de l’existence du peuple acadien. À la fin du poème Longfellow indique que l’histoire et la culture des acadiens sont perdu, donc le renom de la légende d’Evangeline est un façon de souvenir l’histoire d’un peuple très important pour les francophones qui vivent aujourd’hui.

Un raison que le poème est si populaire est peut-être parce que Longfellow décrit la vie et les gens acadiens admirablement. Ça veut dire que les scènes de la terre acadienne illustrent un monde parfait, avec l’amitié universel, la confiance, la paix, et une société assez égalitaire. Donc ce poème influence la littérature et la culture acadienne parce qu’il est une description du paradis. Comme le poème est très populaire peut-être cette perfection devenait l’image traditionnelle de la culture acadienne.


Sunday, February 21, 2010

Les Acadies: Longfellow

Comment est-ce que Longfellow represente les Acadiens ? Quelles sortes de caracteristiques sont renforcees dans ce poeme ? comment ?

Le poeme de Longfellow illustre les Acadiens comme un peuple traditionel, simple, pieux, et de coeur. Selon l'auteur de poeme, il semble que les Acadiens sont un peuple paix avec une communaute tres proche parce qu'ils ne ferment pas a cle leurs fenetres et portes, etc. Longfellow montre aussi que les Acadiens ont une rapport avec la nature parce que l'auteur utilise beaucoup de metephors de la nature pour decrire les gens acadiens. Il est clair aussi que la tradition est tres enracine dans la vie agricole et en general, une tradition tres profonde. Il indique aussi une routine importante dans la vie acadienne, et comme les Quebecoise il est necessaire que chaque partie de cette routine va bien pour l'efficience et la survie du village et de la communaute.

Il semble qu'il y a aussi une grande hierarchie dans la societe acadienne, parce que Longfellow decrit l'importance et le respect du poste de forgeron, les dirigeants du pretre, et le pouvoir du Leblanc.

Donc, il semble que les acadiens apprecier la famille, le paix, et la vie traditionnelle. Longfellow les renforcee avec les descriptions approfondies de la communaute et les detailles des saisons. Aussi, comme j'ai dit au-dessus, les descriptions des gens sont souvent les metephors de la nature (comme "Stalworth and stately in form was the man of seventy winters;/hearty and hale was he, an oak that is covered with snow-flakes;/what as snow were his locks, and his cheeks as brown as the oak leaves/Fair was she to behold, that maiden of seventeen summers./ Black were her eyes as the berry that grows on the thorn by the wayside"). Longfellow renforce la routine et la paix des acadiens avec les detailles de la campagne et les elements des fermes.


Tuesday, February 2, 2010

Les "autres" et Maria

1) Quelles images des "autres" (les Francais, les Etats-Unis, etc.) ressort(ent) de ces chapitres ? Qu'est-ce que l'"ailleurs" represente?

On voit dans ces chapitres une représentation sévère des gens qui sont considérés dans ce livre comme les « autres. » On a déjà rencontré déjà dans les chapitres précédante le personnage Lorenzo Surprenant, un vrai « autre » parce qu’il a abandonné la vie des « habitants » (et donc la vie canadienne) pour les « rues d’or » aux Etats-Unis et il est un traître. Dans le chapitre 13 le lecteur voit vraiment ses sentiments de la vie de la famille Chapdelaine et les autres qui vivent comme eux. Il décrit leur existence comme une vie caractérisée de la misère et la crainte du mort et une vie dure et contrôlé par la nature. Ses opinions sont un contraste direct dont les Chapdelaines, qui ont beaucoup de fierté pour leur vie, donc quand Lorenzo parle sans cesse de la stupidité de la vie sédentaire, il vraiment insulte la famille. Dans les chapitres précédant Lorenzo est peinte comme un homme faible et doux parce qu’il ne fait pas le besogne physique. Alors son monologue lui donne, au moins dans les yeux de la mère et le père Chapdelaine, une personnalité détestée. En plus il est peut-être un peu stupide pour parlant ces choses directement aux Chapdelaines ! Il est un peu impolie, je pense.
Pourtant pour Maria les mots de Lorenzo se frappe avec de vérité et concordance avec ses pensées. Pour Maria, Lorenzo est un sort de héro parce qu’il est le première personnage qui avait voyagé comme elle et avait vu le monde dehors les bois de Québec. Aussi, au fin du chapitre 14, Maria admet que les pensées de Lorenzo et la vie qu’il l’offre est une fuite et un remède pour sa cœur cassée. Donc il n’est pas un monstre pour tout le monde.
Les hommes français dans le chapitre 13 sont aussi les « autres ». Malgré le fait qu’ils sont les francophones, il est clair pour les Chapdelaines qu’ils sont les étrangères. Samuel Chapdelaine décrit leurs accents très bizarre et qu’il est comme ils parlent une autre langue. En plus, le fait que Hémon les décrit constamment comme « les Français » et n’utilise que leurs noms quand on le sait montre qu’il (et donc ses personnages) voit les Français comme un groupe anonyme, sans les attributs personnels. Ces gens sont dans leur maison, mais ils sont encore « les Français », pas les hommes individus. Aussi ces gens ne comprennent pas les défis de la vie sédentaire et ils on les amateurs, simplement imitant ses « frères » canadiens. Alors ils ont fous pour essayant d’être quelqu’un qu’ils ne sont pas clairement ! Par consequent, les Chapdelaines (surtout la mère) les plaint (p. 136-137).


2) Reflechissez au personnage de Maria--ses choix dans la vie, ses devoirs, son avenir, etc--et comment elle represente la femme quebecoise traditionnelle. Qu'est-ce qu'Hemon veut dire a ses lecteurs a propos de la femme au Quebec ?

Maria représente la femme québécoise traditionnelle parce qu’elle se décrit comme une femme « simple » et « proche de la nature » et elle apprécie sa vie conservative (152). Mais sa choix de voyager et de considérer le monde dehors le bois montre qu’elle a soif de l’aventure, surtout après Paradis est mort. Dans le chapitre 14, Maria sait que ses parents auraient préférés qu’elle se marie avec Gagnon, et elle sait elle-même qu’une vie avec lui serait une vie traditionnelle, chrétienne, etc. Pourtant Maria considère une vie avec Lorenzo aux Etats-Unis. En choisissant cette vie, elle serait aussi une traîtresse de la vie de sa famille.
La fin du chapitre 14 est je pense le sommet de ce livre parce que sa choix entre Eurotrope Gagnon et Lorenzo Surprenant symbolise une décision entre la vie qu’elle avait toujours su et la vie que sa famille adorent et une vie « facile » et riche. En choisissant cette vie, elle n’est plus une vraie Québécoise. Alors je crois que Hémon veule montrer un rôle très signifiant de la femme québécoise. Malgré la femme au Québec ne fait pas le besogne physique des hommes qui caractérisé la vie québécoise, elle est obligée de choisir la vie avec les hommes qui continuèrent les traditions et la culture québécoise. Elle ne doit pas choisit de se marier avec les hommes comme Lorenzo Surprenant qui abandonne la vie et les traditions du Québec.
mais on peut dire que son amour pour François Paradis est venu de son promis de créer une vie sédentaire parfait avec elle quand il est retourné.

-Melissa